Intrada, concepteur polonais artisanal (un vrai "facteur" d'enceintes acoustiques), propose, à ce jour, quatre modèles d’enceintes acoustiques passives, toutes sous forme de colonne ; Lili, Erik, Claude et Maurice (Boulanger, Satie, Debussy et Ravel).
Ici nous allons écouter, jauger son modèle entrée de gamme, la petite colonne Lili.
Ces derniers jours, tel un mélomane en quête de trésors sonores, je me suis plongé dans une odyssée musicale intime. Loin du tumulte des Jeux Olympiques, dont le chauvinisme ambiant m'a laissé de marbre en ces temps de repli identitaire, j'ai préféré explorer les recoins oubliés de ma discothèque personnelle.
Redécouvrant avec délice des coffrets de CD longtemps éclipsés par la tyrannie du streaming, j'ai vogué sur les flots mélodieux d'antan. Une mention particulière s'impose pour les joyaux issus du catalogue DECCA des années 50, 60 et 70 - un véritable écrin de merveilles sonores que je ne saurais trop vous recommander d'explorer.
Pour sublimer cette immersion acoustique, mon choix s'est porté sur les enceintes Intrada Nadia, compagnes fidèles de ces journées d'écoute intensive. Bien que familier de ces colonnes sonores pour les avoir côtoyées en boutique, ce n'est qu'en les retrouvant dans l'intimité de mon salon que j'ai pleinement mesuré leur absence.
Rares sont les enceintes, dans cette gamme de prix avoisinant les 5000 euros la paire, capables de procurer un tel ravissement auditif. Dans les lignes qui suivent, je tenterai de vous dépeindre les subtilités de ces remarquables traductrices de l'émotion musicale, dont la présence m'a tant manqué.
Pourquoi ai-je acheté un conditionneur secteur ?
Avant toutes choses, situons mon système vis-à-vis de l’EDF. J’ai donc la chance d’avoir une pièce dédiée dans une maison située à la campagne, coincée d’un côté par le parc de la montagne de Reims et de l’autre par des vignes. Aucune entreprise donc à l’horizon et le transformateur EDF n’est qu'à 400 mètres, avec 3, 4 maisons entre lui et moi. On peut en conclure que les pollutions électriques sont réduites au minimum.
J’ai tiré une ligne directe entre mon disjoncteur et ma pièce dédiée et j’avais placé d’office un filtre secteur professionnel, de marque Secré, dans le boîtier d’arrivée. Après m’être habitué à l’acoustique de la pièce, j’avais effectué des tests avec ou sans filtres de différentes marques, Secré donc, Qed, Isotek … et j’avais fini par tout supprimer, ces éléments étant plutôt négatifs (tassement de la dynamique, attaques moins franches).
Un jour que je trainai au magasin Opus 51, le représentant de GT Audio est arrivé avec le conditionneur secteur Isotek « super titan » (8000€ la bête tout de même …). Très sceptique, j’ai attendu la démonstration, et là, je dois reconnaître que le système de haut de gamme en écoute a été transcendé : grave descendant plus bas et plus proprement, aigu libéré, image plus belle, moins de flou …
Frédéric d’Opus 51 ayant décidé de faire rentrer le « titan » (3000€, c’est plus raisonnable) ainsi qu’un Gigawatt, j’ai évidemment sauté sur l’occasion pour les tester chez moi où le Titan fît merveille, je me suis donc décidé à en commander un …
Cela fait maintenant 1 mois que le Titan est chez moi et qu’il alimente tout mon système. Bien que celui-ci me procurait déjà beaucoup de satisfactions, j’ai énormément gagné sur la beauté du grave, sur son impact, on a l’impression qu’il descend plus bas avec plus de richesse harmonique (oui, c’est possible même pour le grave), l’aigu est plus fin, moins « piquant » (CD), monte plus haut, l’image est à l
A fois plus vaste et plus stable, la microdynamique est beaucoup plus riche, plus perceptible, ce qui rend les interprétations bien plus belles, plus vivantes.
Alors avant de changer d’ampli, de préampli, de lecteur CD ou d’enceintes, si vous en avez la possibilité faites vous prêter un conditionneur et essayez-le, cela résoudra peut-être une grande partie de vos problèmes et supprimera surement cette impression d’écoute plus ou moins agréable en fonction de l’heure de la journée.
Grande décision hier soir, je me suis rendu chez un ami qui posséde, oh! le chanceux, un système Haute Fidélité assez exceptionnel, afin de tester, de découvrir le conditionneur anglais Isotek Titan.
Pour le tester, un simple sacd ; le Sacre du Printemps par l'Orchestre Philharmonique de Los Angeles, un enregistrement Deutsche Gramophon dynamique, précis et possédant une spatialité exceptionnelle.
Ecoute avec le conditionneur :
Conclusion : comment déconnecter l'Isotek Titan après y avoir goutté sur une longue période ? La réponse est simple ; partez longuement en vacances, oubliez durant quelques jours, quelques semaines la musique, les musiques reproduites et alors, peut être, au retour vous retrouverez le bonheur d'écouter de la musique grâce à votre système Haute Fidélité mais... au bout de quelques heures le Titan se rappellera à votre bon souvenir...
Le Système d'écoute :
Pré amplificateur : Coda CX05
Amplificateur : PBN
Sources : T+A D10
Enceintes : Montana EPX (merci Hervé)
Câbles de modulation : Studio Connections Monitor
Câbles HP : Argento
Cable secteur : Isotek
Les Notes :
Qualité/Prix : 18/20
En ce vendredi matin de mai où l'été semble vouloir brûler les étapes, affichant un indécent 25°C dès l'heure du thé matinal, je savoure, sceptique mais curieux, un doux Oolong taïwanais. Devant moi, les Kudos Audio Titan 505 trônent après 200 longues heures d'un rodage aux airs de rite initiatique. Seront-elles à la hauteur de leur impeccable pedigree britannique ? Je demande à voir… ou plutôt, à entendre.
Ce jeudi de juin s'étire paresseusement, caressé par une promesse de chaleur où le mercure dansera bientôt avec les trente degrés. L'air ondule déjà de cette langueur estivale qui fait s'évaporer les pensées comme des volutes d'encens au vent tiède.
Sur l'autel de mon bureau repose un mug solitaire, gardien silencieux d'un café qui a troqué sa fougue matinale contre la mélancolie du tiède. Témoin muet d'un élan premier qui s'est perdu quelque part entre l'aube et ce moment suspendu.
Et pourtant, après trente jours tissés d'écoute, trente jours où les Kudos Titan 606 ont habité mes journées de leurs harmonies changeantes - tantôt complices de mes joies, tantôt consolatrices de mes spleen - l'heure de la confession a sonné. Ces dames anglaises, droites dans leurs convictions sonores, imposantes dans leur prestance, appellent enfin les mots à la danse.
Alors que mes doigts effleurent le clavier comme un pianiste retrouve son instrument, entre deux gorgées de café ressuscité par la chaleur, je m'apprête à dévoiler les secrets que ces colonnes acoustiques murmurent aux âmes attentives. Car elles méritent bien plus qu'un simple effleurement de plume - elles réclament une ode à la hauteur de leur grandeur.
A la demande de nombreux clients ou utilisateurs, voici ci dessous un retour d'expérience d'écoute de musiques dématérialisées sur Apple MAC. Ce Compte Rendu est de B. Doyard. Grand merci à lui. Ici dans cet exemple le Mac est directement connecté à un DAC.
Pure Music :
Juste un petit retour d’info pour les utilisateurs de musique dématérialisée avec du Mac avec qui je crois bon de faire profiter d’une expérience très positive que j’ai avec le petit logiciel américain « Pure Music » de chez Channel D
Musicalement : Apporte un plus indéniable sur l’ensemble de la restitution et notamment sur en termes d’aération, de précision du phrasé et de la scène sonore… Surtout pour ceux qui n’ont pas la chance d’avoir un DAC ou lecteur réseau qui met en mémoire tampon le fichier avant la lecture…
Utilisation : Extrêmement simple d’utilisation. Vous gardez la convivialité et la simplicité d’iTunes ainsi que les possibilités de commander votre bibliothèque musicale à distance via iPhone, iPad, etc…
Vous étendez les possibilités d’iTunes puisque vous pouvez lire via iTunes les fichiers Flac, Haute Définition et DSD. Chose qui n’est pas possible (sauf erreur de ma part) sur iTunes classique.
Vous pouvez lire en Gapless.
Un peu plus de technique : En fait Pure Music « prend la main » sur iTunes et sur la couche de la carte son de votre Mac. Pour l’utilisation, vous avez l’impression d’utiliser iTunes qui est en fait devenu un logiciel « fantôme » et une simple interface…
Il met en mémoire tampon les fichiers à lire et vous affranchit de certains problèmes d’accès disque dur qui arrivent parfois. Ce qui effectivement demande quelques micro-secondes de plus avant la lecture selon le nombre de fichiers que vous lui ordonnez de lire et la capacité de votre RAM.
Vous avez éventuellement la possibilité de mettre le processeur en utilisation exclusive (HogMode), c'est-à-dire que Pure Music bloque tous les accès ou les requêtes d’interruption au processeur qui devient dédié exclusivement à la carte son…
Pour les bidouilleurs, dont je ne fais pas partie donc sans opportunité de commenter, sachez que vous avez également la possibilité de :
Prix : Après 15 jours d’essais gratuit. Il vous en coutera 120$. A vous de surveiller les taux de change $/€ pour gagner quelques euros ;-)
Conclusion : Pour un budget qui me paraît somme toute raisonnable, le gain qualitatif de restitution est vraiment significatif. Je n’ai pas pu comparer sur mon système avec le grand concurrent « Amarra » (d’une centaine de $ plus cher) que par contre j’ai vu fonctionner et qui est nettement, mais alors nettement, moins simple d’utilisation et qui s’adresse beaucoup plus aux geek et autres amateurs de bidouillage informatique…
- La harpe est un instrument de musique à cordes pincées, qui possède une sonorité douce et délicate.
- La harpe est souvent utilisée dans la musique classique, mais elle peut également être intégrée à d'autres genres musicaux tels que le folk ou le jazz.
- La harpe est un instrument ancien, qui remonte à l'Antiquité et qui a été utilisé dans de nombreuses cultures à travers le monde.
- Pour jouer de la harpe, il faut être capable de coordonner ses mains pour jouer les différentes cordes, ce qui demande un certain niveau de dextérité et de pratique.
"S'il fallait retenir une analogie avec l'instrument de musique dont les Harps empruntent la forme et le nom, je dirais sans hésiter « la grâce »... Les enceintes Harp de Lawrence Audio incarnent le raffinnement et le bon goût. Ce ne sont pas des enceintes aguicheuses mais au contraire, elles affichent en toutes circonstances une beauté rigoureuse et maitrisée... Il y a une droiture, une forme de pulsation toujours exacte, qui donne la juste mesure, le bon tempo à la musique tout en préservant ses saveurs naturelles, l'authenticité des timbres d'une voix ou d'un instrument... Un grand frisson, assurément !" (AudiophileMagazine n°5)
Depuis leur arrivée au magasin en juin, les Lawrence Audio Cello ont eu tout l'été pour se faire une place dans notre salle d'écoute. Et quelle place !
Avec leur silhouette rappelant un petit violoncelle, ces enceintes ne se contentent pas de séduire l'oreille : elles flattent aussi l'œil.
Leur design élégant et leur finition luxueuse en font des objets d'art à part entière, capables de s'intégrer harmonieusement dans les intérieurs les plus raffinés
Système écouté : (lien boutique web)
Lecteur de CD et DAC : Fonel Simplicité Plus
Amplificateur intégré : Leema Tucana II Anniversary
Enceintes : Lawrence Audio Cello
Câble de modulation : Fonel Référence
Câbles pour enceintes : BlackRhodium Athena
Cable secteur : Dilixaudio Power One
Barrette Nordost : Nordost QB8 - Dilixaudio mini-Terra
Lawrence Audio est un fabricant d'enceintes acoustiques Haut de Gamme aux exigences qualitatives exacerbées. A son catalogue, nous trouvons deux familles d'enceintes, les "Instruments" et les "Birds". Les Double Bass que nous allons découvrir ici, chapotent la famille "Instruments". Ce sont des enceintes très haut de gamme au tarif (01-06-2019) de 30.000 euros ttc la paire. A ce prix que pouvons-nous espérer ?
C'est la première fois dans ces colonnes que nous nous attaquons en test à une telle réalisation. Des enceintes onéreuses, très Haut de Gamme. Depuis près de 20 ans, nous en écoutons très régulièrement. Souvent le plumage et le ramage ne s'accordent pas. Qu'en sera t'il ici ?
Lawrence Audio est un fabricant d'enceintes acoustiques Haut de Gamme aux exigences qualitatives superlatives. A son catalogue, nous trouvons deux familles d'enceintes, les "Instruments" et les "Birds". Les Mandolin, ici présentées, sont les premiers modèles de la famille "Instruments". Ce sont des enceintes de type "bibliothèque" fournies avec leur support dédié.
Les belles enceintes Lawrence Audio Violin SE sont arrivées chez Opus 51 fin novembre 2017. A cette époque les nouveautés furent nombreuses et, ce n'est que depuis quelques jours, que nous avons pu découvrir, écouter avec attention ces enceintes atypiques de par leur présentation, de par leur conception.
Après quelques tests plus ou moins concluant à nos oreilles, nous avons décidé de vous les présenter accompagnées de l'excellent amplificateur stéréo Fonel Emotion AB que nous ne présentons plus.
Système écouté : (lien boutique web)
Sources : Leema Libra (DAC)
Serveur audio : InnuOs Zenith
Amplificateur intégré : Fonel Emotion AB
Enceintes : Lawrence Audio Violin SE
Câbles de modulation : Fonel Reference XLR
Câble USB : Leema Reference 2
Câbles pour enceintes : Black Rhodium Athena
Cable secteur : Dilixaudio Power One - Black Rhodium Titan
Barrette secteur : Isol-8 - Dilixaudio mini-Terra
Avec les Violin SE, Lawrence Audio condense tout son savoir-faire acoustique dans une enceinte compacte au design sculptural, inspiré des courbes sensuelles d’un instrument à cordes. D’un simple regard, l’objet intrigue et séduit ; à la première note, il enchante par sa richesse harmonique et sa finesse de restitution.
Vous êtes en quête d’une enceinte Haute-Fidélité capable d’illuminer un salon de 15 à 35 m² ? Et surtout, vous aimez savourer vos albums favoris sans regarder l’horloge ? Alors faites une halte, le temps d’une écoute… Ces Lawrence Audio Violin SE méritent qu’on leur prête l’oreille – et le cœur.
Le Rodage Hi-Fi : Mythe Audiophile ou Véritable Alchimie Sonore ?
Vous venez de casser votre tirelire pour acquérir un amplificateur Marantz Model 60n et une paire d'enceintes Pylon Jade 20, persuadé que, dès la première note, votre salon se transformera en salle de concert privée. Mauvaise nouvelle : non seulement vos nouvelles enceintes ne sonnent pas comme dans le showroom, mais en plus, on vous annonce qu'il va falloir "les roder". Ah, ce doux euphémisme pour vous faire patienter pendant que vos haut-parleurs s'assouplissent... ou que votre oreille s'habitue ?
Les enceintes colonnes Leane Etnik M sont hautes de 165 cm et sont recouvertes d'une finition "vrai cuir" assez exceptionnelle. Leur design dénote dans le petit monde des enceintes acoustiques françaises et cela pour le plus grand plaisir de nos intérieurs.
Leane est une toute nouvelle entreprise installée en Alsace, toute proche des usines Bugatti. Les enceintes sont conçues et réalisées entièrement en France, seuls les Haut Parleurs proviennent de Norvége.
Revenons au modèle qui nous intéresse les Etnik "M", dans la gamme elles viennent juste après les "S" et se positionnent juste avant les "L". Il est possible de se les procurer dans différentes teintes de cuir et même en laque blache ou noire. Leur tarif est de 4.990 euros ttc la paire en offre de lancement. Ce sont des enceintes de type colonne basses Réflex trois voix. Elles sont équipées de 2 boomers de 17 cm SEAS, d'un medium de 10 cm en papier SEAS et d'un tweeter SEAS.
Count Basie : CB Express
Jessica Pilnas + Nils Landgren : The Winner Takes it All
S. Rachmaninov : Concerto n°2 (V. Ashkenazy + B. Haitink)
Système de test:
Les notes :
Fabrication : 14/20
Timbres : 13/20
Dynamique : 13/20
Image : 12/20
Transparence : 12/20
Qualité/Prix : 12/20
Leema Acoustics est une société galloise qui conçoit, avec des méthodes artisanales, du matériel Haute-Fidélité au sein d'un environnement industriel. L'élément Tucana II représente, à ce jour, l'amplificateur intégré stéréo le plus haut de gamme de l'entreprise. Sa conception et sa réalisation n'ont rien à envier aux produits leader du marché : Yamaha A-S3000, Marantz PM-11s1, Accuphase E-260.
Par contre, sans rien dévoiler de ce test, sa musicalité, sa vivacité, son dynamisme, sa neutralité, en font un produit d'excception ! A vous de juger.
Lien boutique web : Leema Tucana II
La société Leema fut créée en 1998 par deux ingénieurs de la BBC Lee Taylor et Mallory Nicholls qui avaient pour objectif la conception d'une enceinte "miniature" capable de rivaliser avec des systèmes audio beaucoup plus imposants et coûteux. Il leur fallut quatre années de laborieuses recherches pour finaliser l'enceinte Xen qui rencontra un fabuleux succès. Dans la foulée, Lee et Mallory développèrent leur premier amplificateur le Tucana qui reçu en 2007 la distinction en Grande Bretagne d'"amplificateur de l'année". L'aventure Leema était sur de bons rails... Aujourd'hui ces superbes produits "gallois" sont distribués en France par la société Exclusive-Audio et sont à découvrir entre autre chez Opus 51.
FABRICATION :
En 2015 Leema propose trois gammes d'électroniques ; Constellation, Spectrum et Elements, quatres modèles d'enceintes acoustiques et trois gammes de câbles audio.
Pour la première fois nous plongeons dans cet univers celtique et commençons notre quête par la découverte de la gamme Elements. Ici, nous découvrons un Amplificateur Stéréo Intégré, un DAC, un pré-amplicateur (analogique), un bloc de puissance stéréo, un étage de préamplification Phono et naturellement un lecteur CD. Tous les produits de la famille Elements se présente dans un un format inhabituel de 21,7 cm de large contre 43 cm pour le format standard, leur châssis est rigide, de qualité et la face avant de tous ces "éléments" est réalisée en aluminium de forte épaisseur, les finitions noire ou argent-blanc du plus bel effet sont disponibles. Une fois en main les produits Leema Elements inspirent confiance.
L'amplificateur Stéréo Intégré de la gamme Elements, sujet de ce test, annonce fièrement une puissance de 56 watts par canal sous 8 ohms. Nous constaterons que cette puissance, liée à une bonne capacité en courant semble réelle. C'est déjà un bon point pour ce produit.
Cet "Elements" est équipé de toutes les entrées analogiques nécessaires, et possède des sorties pour deux enceintes acceptant exclusivement les terminaisons bananes... à la mode anglaise. De série, Leema a eu l'intelligence de lui adjoindre un DAC 24/192 Haut de Gamme et asynchrone pour son entrée USB. Encore un bon point pour cet amplificateur !
Une sortie casque et une entrée analogique sous jack 3.5 mm équipent la façade de cet amplificateur à la gauche d'un bel afficheur "led" indiquant et la source, et le volume, et la fréquence de fonctionnement du DAC.
Le tour du propriétaire est complet, commençons les écoutes... Celles-çi s'effectuèrent dans un pièce de 23 m² assez claire avec un temps de réverbération d'environ 0.8 seconde.
- Puissance sous 8 Ω - 2 x 56 W RMS - sous 4 Ω - 2 x 105 W RMS - sous 2 Ω - 2 x 155 W RMS
- Entrées analogiques :
- 3 x asymétriques RCA
- 1 x symétrique XLR
- 1 x 3.5 mm mini jack on front panel
- Entrées numériques :
- 3 x SPDIF optique 24 bit / 192 kHz
- 1 x SPDIF co-axiale RCA 24 bit / 192 kHz
- 1 x USB Asynchrone 24 bit / 192 kHz
- Dimensions (L x H x P) - 217 mm x 90 mm x 375 mm
Musiques écoutées :
IMAGE :
DYNAMIQUE :
Restons en compagnie de Schubert et constatons que le label allemand Tacet nous propose avec cet enregistrement aucunement trafiqué une écoute à la dynamique digne, enfin presque, d'un concert. Entre le fortissimo des 6 instruments à l'unisson et le pianissimo du violon solo les écarts de dynamique sont gigantesque. l'amplificateur ne tasse jamais le fortissimo et le pianissimo n'ai jamais noyé dans un bruit électronique.
Tarja est une chanteuse soprano finlandaise de Métal-Symphonique à la mode lyrique. Elle débuta sa carrière en "frontwoman" du groupe à succès Nightwish qu'elle quitta, pour une carrière solo, en 2005 (en réalité elle fut démissionnée du groupe). Son dernier album studio dont est extrait le titre Victim Of Ritual date de 2013. Cette composition ultra produite est introduite par le boléro de Ravel arrangé à la mode orientale et dérive assez rapidement vers un rock Métal FM d'assez bonne qualité. Le Leema Elements ne se démonte jamais, pendant toute cette avalanche de sons parfois sauvages et tel un fantassin de l'armée napoléonienne il reste droit dans ses bottes.
RAPPORT QUALITE/PRIX :
Vous aurez compris à la lecture des différentes analyses précédentes que nous sommes tombés sous le charme de ce petit amplificateur. Pour être honnête, il nous a fallu un certain temps pour l'adopter. pour l'apprivoiser. Sa transparence, sa neutralité nous ont obligé à porter une très grande attention à tous les éléments qui lui étaient joints. L'idéal est de l'accompagner de câbles et d'enceintes d'une grande neutralité et d'une belle définition afin de ne jamais perdre aucune information, et de laisser la musique vivre.
Sa partie DAC est très correcte et permet de se passer de tout élément externe, branchez lui un serveur audio à (InnuOs par exemple) à son entrée USB et laissez vous transporter. Mieux encore, adjoignez lui le petit DAC Elements de chez Leema et là... Plaisirs garantis.
Le rapport Qualité/Prix/Musique de cet amplificateur Leema est excellent. Une belle découverte.
Les "Pros and Cons" :
Amplificateur : Leema Elements Integrated Amplifier
Sources : Leema Elements DAC - DAC interne - Soulines Elgar DCX
Enceintes : Xavian Piccola - Sounddeco Alpha F1 - Sounddeco Alpha F2
Câbles de modulation : Studio Connections Reference Plus XLR
Câbles HP : Black Rhodium Iris (Sounddeco) - Absolue Créations Op-Tim (Xavian) - Studio Connections Reference + (Sounddeco F2)
Cable secteur : Studio Connections Power Carbon SE
Les Notes :
Fabrication : 14/20
Image : 15/20
Timbres : 15/20
Dynamique : 15/20
Transparence : 16/20
Qualité/Prix : 18/20
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Les propos et les avis énoncés dans ce test n'engagent que l'auteur de ce test et en rien la société Opus 51
Ne revenons pas sur l'historique de la société Leema créée au Pays de Galle en 1998 par deux ingénieurs de la BBC Lee Taylor et Mallory Nicholls.
Le Convertisseur (DAC) préamplificateur testé ici est issu de la gamme Elements et vient compléter un lecteur CD, un amplificateur intégré stéréo, un bloc de puissance stéréo, un préamplificateur analogique et un superbe préphono MM et MC.
FABRICATION :
Ce test va nous permettre, vous permettre de découvrir le savoir faire "numérique" de la firme galloise. Ce DAC/préamplificateur se présente sous un un format inhabituel de 21,7 cm de large contre 43 cm pour le format standard, le châssis est rigide, la face avant est réalisée en aluminium de forte épaisseur. Le DAC Elements est disponible en finition noire ou argent-blanc du plus bel effet. Une fois en main les produits Leema Elements inspirent confiances.
DAC: Quattro 24bit/192kHz with multiple CS 4351 converters and Wolfson WM8805 low jitter receiver. Leema USB-M1 24/192 Module
Bande passante : 20Hz to 20kHz (+/- 0.25dB)
Distortion : inférieur à 0.001% (@ 1kHz)
THD : 0.005% (@ 0dBFs)
Jitter : moins de 50ps (@ 1kHz)
Sorties disponibles (niveau fixe ou variable) :
- 1 x RCA stéréo
- 1 x XLR stéréo
Entrées disponibles :
- 1 x RCA stéréo (analogique)
- 1 x mini jack 3.5 mm en façade (analogique)
Entrées numériques :
- 3 x S/PDIF Coaxiale
- 3 x S/PDIF Opticale
- 1 x USB asynchrone
Sortie casque (3.5mm jack): 1
Télécommande : oui
Musiques écoutées :
IMAGE :
DYNAMIQUE :
Hector Berlioz est le compositeur Romantique français. En 1830, six ans après la composition par Beethoven de sa 9éme symphonie, il va établir les jalons de ce que devrait devenir la Symphonie musicale. Il crée, en quelque sorte, la musique descriptive. Reconnu comme un Grand maître, et cela de son vivant, dans l'art de l'orchestration musical il déploie tout son savoir et son génie dès cette première grande composition qu'est la Symphonie Fantastique. "Dans cette oeuvre Le traitement expressif de l'orchestre est sans précédent. La musique exprime alternativement la beauté (au début), l'élégance (de la scène de bal), le pastoral (les champs), les ténèbres (l'échafaud), le démoniaque (le sabbat) ; une révolution dans l'art de l'orchestration : les anciens recherchaient une musique claire et distincte et utilisaient pour cela la sonorité native des instruments, mais Berlioz ordonnait à l'orchestre de murmurer, de chanter, de crier et même de hurler". Pour ce test nous nous contenterons de la partie Démoniaque "Marche au Supplice". L'interprétation qu'en donna en 1959 Sir Eugen Goossens n'est pas une Référence, l'orchestre Londonien et le chef sont incapables d'insuffler de la vie, de l'énergie, de la folie à leur interprétation et même la fanfare (1'39-) résonne indolemment, sans la moindre précision rythmique. Mais, parce qu'il y a un mais, l'enregistrement est somptueux de réalisme tant dans l'image réellement holographique que dans les timbres reproduits. Cette version parue en septembre 1959 bénéficiait de la stéréo et d'une captation à trois micros sur bande 35 mm, assurant une définition et un relief sonores qui fondent aujourd'hui encore l'orgueil du label Everest et justifie cette nouvelle réédition remasterisée en Haute Définition 24/192. Le Leema Elements DAC nous étonne, nous subjugue, par ce qui est sans doute son point fort, son rendu dynamique. Aucun tassement, aucune compression ne sont remarqués. Vous en voulez, vous en aurez, telle est sa définition. Sur cet enregistrement à la dynamique exacerbée, réelle en quelque sorte, comme dans une salle de concert, du pianississimo ou fortississimo, toutes les nuances dynamiques nous sont parfaitement offertes, le bruit de fond est repoussé très loin et malgré un volume sonore élevé aucune limite n'est ressentie.
RAPPORT QUALITE/PRIX :
Si vous avez lu, dans son entièreté, ce test, et nous louons votre courage, vous avez compris que nous avons apprécié ce Leema Elements DAC. C'est peut être la première fois que l'apport d'un DAC, à moins de 3.000 euros, apporte vraiment un gros plus, lors de nos écoutes, par rapport à un lecteur de CD moyen/haut de gamme (Marantz SA14s1, Rega Saturn-R, Yamaha CD-S2100. Roksan Caspian M2, Leema Elements CD...). Comme tous les produits Leema que nous connaissons, ce qui frappe dès les premières notes, les premiers accords, lors de nos longues heures de plaisirs musicaux en compagnie de DAC Elements, ce sont et, sa neutralité et, sa dynamique... Galvaudons, galvaudons ! Un voile s'est levé devant notre système Haute-Fidélité
Autre grand étonnement, les écoutes de musiques dématérialisées en Haute Définition, sont de toute beauté, dynamiques, vivantes, précises et fluides.
Vous possédez déjà un lecteur de CD entrée/moyen de gamme d'une valeur dans une fourchette allant de 500 à 3500 euros, il a déjà quelques années, vous voulez l'"upgrader", y ajouter des fonctions comme une entrée USB par exemple, le Leema Elements DAC est fait pour vous. Allez le découvrir en magasin, vous serez bluffé !
Les "Pros and Cons" :
Amplificateur : Leema Tucana II
Sources : Leema Elements DAC - Yamaha CD S3000
Enceintes : Xavian Carisma
Câbles de modulation : Studio Connections Reference Plus XLR
Câbles HP : Bleck Rhodium Isis
Cable secteur : Studio Connections Power Carbon SE
Les Notes :
Fabrication : 14/20
Image : 15/20
Timbres : 16/20
Dynamique : 17/20
Transparence : 16/20
Qualité/Prix : 18/20
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Les propos et les avis énoncés dans ce test n'engagent que l'auteur de ce test et en rien la société Opus 51
Le Préampli / DAC Haut de Gamme Leema Libra vient d'obtenir les honneurs de la presse Hi-Fi française. Le magazine Haute-Fidélité dans son daté décembre/janvier 2016, n° 214, affirme :
"Les grandes qualités musicales de ce DAC s'illustrent sur tous les aspects de nos tests sans complaisance, sachant que de nombreux enregistrements présentent des passages pouvant mettre en difficulté bien des électroniques. Le Leema surmonte tous ces pièges avec une grande facilité... La conception électronique, assez complexe sous le capot et très professionnelle, ne présente aucune difficulté d'exploitation, en raison d'une ergonomie trés intuitive... Leema Acoustics gagne à être connue, ce que ne dément pas ce fabuleux Libra." (P. David)
lien boutique : LEEMA LIBRA
Dans le berceau de la Tamise, où les brumes du temps s'entremêlent aux échos du passé, Leema Acoustics a pris racine. Deux magiciens du son, jadis au service de la BBC, ont uni leurs talents pour donner vie à une petite enceinte, telle une graine sonore plantée dans le jardin de la haute-fidélité.
Au fil des saisons, leur création a fleuri, s'épanouissant en une gamme d'électroniques sophistiquées. Comme des oiseaux migrateurs en quête d'un nouveau nid, ils ont trouvé refuge dans les vallons verdoyants du Pays de Galles, où l'air pur nourrit leur créativité.
Aujourd'hui, nous découvrons les fruits de leur labeur : un préamplificateur et un amplificateur stéréo, duo harmonieux offrant une symphonie de performances à un prix qui ne fait pas grincer les oreilles. Dans un monde où la hi-fi se fait de plus en plus discrète, telle une violette timide, Leema ose le grand format, tel un chêne majestueux dans une forêt de bonsaïs.
Ces deux boîtiers, unis comme un couple de danseurs, forment le cœur battant d'un système audio au charme d'antan. C'est un pont jeté entre le présent et le passé, une mélodie vintage qui résonne dans l'air du temps, rappelant que la musique, comme les souvenirs, gagne parfois à prendre son temps.
Les Notes :
Fabrication : 15/20
Timbres : 14/20
Dynamique : 12/20
Image : 14/20
Transparence : 12/20
Qualité/Prix : 14/20 (voir le texte ci dessus)