Message reçu d'un client après avoir sélectionné avec soin un nouveau lecteur de CD en remplacement d'un Rega Apollo :
"Des nouvelles de Troyes, après une journée entière passée en compagnie de mon nouveau lecteur CD...
Tout d'abord, je dois dire qu'ayant opté, après écoutes attentives chez vous, pour le Marantz SA15S2, j'étais quelque peu impatient au retour de vérifier la pertinence de mon choix. J'avoue que je n'aurai pas orienté mes pas vers le Marantz, pour un budget de 2.000 €, si vous ne l'aviez pas inclus dans le panel des produits écoutés.
Branché sur mon Moon 3.3 et relié aux Neat Momentum 3i ( que j'apprécie depuis deux mois pour la richesse et la précision de leur restitution ), le CD Marantz correspond parfaitement à ce que j'espérais d'une montée en gamme. Grande richesse des micro-informations (chaque CD livre immédiatement son "ambiance", son environnement, bon ou mauvais d'ailleurs ! ), les moindres nuances, inflexions sonores sont présentes, avec naturel, fluidité.
L'équilibre général que j'avais noté dans votre auditorium, par comparaison aux autres lecteurs proposés, s'est confirmé chez moi. Pour résumer une grande journée d'écoute sur mon systême, je dirai cohérence et évidence de l'écoute.
Je pense passer de nombreuses années avec ce Marantz !" (DA)
L'amplificateur hi-fi Marantz Stereo 70s succède au très apprécié Marantz NR1200 et introduit des entrées et sorties HDMI 2.1. Conçu pour être compatible avec les flux vidéo UHD 8K et 4K HDR, cet ampli offre une solution globale pour centraliser les différentes sources audio et vidéo du salon.
Doté d'un lecteur réseau intégré, il permet la lecture des fichiers audio partagés sur le réseau local et l'accès à des services de streaming tels que Deezer, Spotify, Tidal, Amazon Music, ainsi que la lecture de webradios. En outre, sa puissance de 2 x 75 watts sous 8 ohms garantit une alimentation efficace pour une large gamme d'enceintes bibliothèque ou colonne.
Martin Logan avec son modèle ESL propose, pour un budget très serré, une vraie enceinte électrostatique haut de gamme. Ce modèle est composé d'un panneau électroqtatique CLS AirFrame de 90 cm et d'un caisson passif dédié aux basses équipé d'un haut-parleur de 20.5 cm. Elle repose sur 4 pieds solides et stables équipés ou non de pointe afin d'optimiser le découplage avec le sol.
Nous avions été entousiasmés par la découverte des enceintes Martin Logan ESL11A (Martin Logan ESL11A), en sera t'il de même pour ces "petites" ESL ?
Martin Logan est une entreprise Kansasienne qui présenta sa première enceinte en 1983, son originalité, l'utilisation de haut parleurs électrostatiques.
Messieurs Sanders et Sutherland désiraient construire une enceinte basée sur un haut-parleur électrostatique (le meilleur haut-parleur au monde, sur le papier) qui reproduirait toutes les fréquences de l'extrême grave aux aigüs les plus perchés. dès 1980, les deux hommes entamèrent une série d'expériences avec de nouveaux matériaux destinés à l'aérospatiale. Construit avec des revêtements conducteurs, de l'isolant et des adhésifs à la pointe de la technologie, leur haut parleur a pris en sandwich un diaphragme en Mylar transparent et ultra-léger entre deux stators en acier perforé.
Fin 2005, Martin Logan fut acquis par une filiale de Shoreview Industries, une société financière spécialisée dans le soutien aux entreprises privées. Shoreview avait reconnu l'engagement fondamental de Martin Logan en matière de qualité, de haute performance et de service à la clientèle. A ce jour, Shoreview reste un investisseur passif, fournissant une source permanente de financement en capital pour la recherche et la modernisation des produits conçus.
En 2016, Martin Logan a lancé la série des enceintes Masterpiece ESL. Cette ligne contient toute l’histoire des innovations et spécificités du fabricant américain : des caissons de grave extrêmement performants intégrés, les imposants transducteurs électrostatiques, des filtres originaux et efficaces et la technologie Anthem Room Correction (ARC ™), l'un des meilleurs coorecteurs de salle dédié exclusivements à la gestion des fréquences graves.
C'est une enceinte de cette gamme que nous testons ici.
Système écouté : (lien boutique web)
Lecteur de CD et DAC : Fonel Simplicité Plus - Serveur InnuOS Zen mkIII
Amplificateur intégré : Fonel Emotion AB
Enceintes : Martin Logan ESL 11A
Câble de modulation : AudioQuest Wind RCA
Câbles pour enceintes : Studio Connections Black Star
Cable secteur : Dilixaudio Power One
Barrette Nordost : Isol8 - Dilixaudio mini-Terra
Depuis maintenant 2 semaine nous avons le plaisir d'accueillir en nos locaux les "gigantesques" enceintes américaines Martin Logan ESL15A, elles dominent notre plancher de plus de 177 cm... Impressionnant !
Nous n'allons pas, ici, commettre un test complet (ouf, vous l'avez échappé belle), pour avoir une idée des résultats sonores, musicaux obtenus, veuillez, svp, vous reporter à notre test des modèle ESL11A (https://www.opus51.fr/les-tests/item/900-martin-logan-esl11a-le-test), ces grandes ESL15A procurent les mêmes plaisirs mais sont dédiées à des environnements d'écoute beaucoup plus spacieux (au minimum 60 m²).
La société américaine Martin Logan est connue depuis les années 1980 pour la conception et la fabrication d'enceintes acoustiques électro-statiques (voir sur ce blog même les différents tests effectués), elle est nettement moins reconnue pour ses créations électro-acoustiques
La gamme Motion, ainsi ce nomment les enceintes électro-acoustiques du fabricant de la ville de Lawrence dans le Kansas, vient d'être renouvelée. Découvrons ensemble le modèle phare de cette série de produits aux tarifs très étudiés ; les Martin Logan Motion 60 XTi.
"Ici pas de format DSD ou 384kHz ni de réglage de filtre ou de sortie casque.
Si vous recherchez l’émotion musicale et que vous n’avez pas trouvé votre bonheur dans la production de DAC actuelle, alors vous ne devez pas passer à coté de l’écoute d’un Merason, c’est probablement le convertisseur DAC que vous attendiez.
Daniel Frauchiger a de nombreuses années d’expérience dans le domaine de l’acoustique, de l’électronique et encore de la gestion de projets informatiques.
C’est lorsque Daniel cherchait à titre personnel un convertisseur à même de le satisfaire qu’il pris la décision de faire développer un DAC, les productions actuelles ne trouvant pas grace à ses oreilles. Ainsi naissait le premier convertisseur Merason, nommé simplement DAC1.
En 2020, fort du succès du DAC1, Merason décide de le décliner dans une version compacte et abordable nommée Frerot.
Le DAC Frerot permet d’améliorer significativement les chaines hifi entrée/moyenne de gamme mais il n’est pas rare de le trouver dans certains studios d’enregistrement.
Pour améliorer les qualités musicales du Frerot, vous pourrez lui adjoindre l’alimentation optionnelle Pow1 qui viendra encore booster les performances du Frerot.
Alors, ne vous fiez ni à la taille ni aux caractéristiques techniques : le Frerot connait la musique et sait mieux que quiconque reproduire avec brio l’émotion pour vous transporter au coeur de l’oeuvre musicale."
Dans l'univers enchanté de la haute-fidélité, le talentueux créateur suisse, Merason, se distingue par sa délicatesse, loin des extravagances de certains fabricants.
Avec seulement trois joyaux à son écrin, deux somptueux DAC et une alimentation dédiée au Frérot, ce magicien du son s'épanouit dans l'art de rendre la conversion numérique-analogique musicale et accessible, en déployant des architectures d'une originalité simple.
Tout récemment dévoilé, son nouvel opus, le Reuss, demeure fidèle à cette philosophie, s'élevant tel une symphonie, perpétuant ainsi l'héritage exquis de son prédécesseur, le DAC1 Mk II.
Le système mis en place :
Loin de moi l'idée de devenir journaliste... Mais il me semble intéressant d'effectuer, sur du matériel trop peu connu, des compte rendus d'écoutes. (Si cela vous intéresse, Opus 51 vous offre la possibilité d'effectuer vous même vos compte rendus et de les publier sur ce blog, pour cela merci de me contacter à l'adresse suivante : Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.).
Lors des écoutes les Mordaunt Short Performance 2 avaient environ 150 heures de rodage... Elles devraient encore s'améliorer avec le temps...
Disque écouté : Purcell - Music for a while (A. Deller)
Disque écouté : Bach - Cantate BW198 (P. Herreweghe)
Disque écouté : Orff - Carmina Burana (E. Jochun)
Disque écouté : Schubert - Quintette "La Truite" (Amadeus + E. Gilels)
Disque écouté : Jenny Evans - Remember Me (Jazz)
Conclusions : Ces enceintes, à la finition magnifique, sont comme nous pouvons le constater sur la photo de superbes bibliothèques 2 voix au tempérament énergique et précis. Leur rapport Qualité/Musique/Prix est exceptionnel. Musicalement il n'y a pas grand chose à leur reprocher, elles seront à leur place dans des espaces de 20 à 40 m².
Seul petit défaut, les caches qui sont bien compliqués à mettre et à démettre....
Système écouté :
Ce système fut mis en place à la demande d'un client et c'est avec un grand plaisir que je vous offre, ici dans ces colonnes, le compte rendu de cette superbe écoute d'un ensemble Haute Fidélité certes relativement onéreux (environ 5.500 €) mais offrant des performances musicales de Grande Qualité.
Disque écouté : Platti - Concerto grossi d'après Corelli (HM)
Disque écouté : Schumann - Scherzo op.32 (A. Steier, piano Erard)
Disque écouté : Fauré - l'Absent (K. Wolff, bariton)
De nombreux CD de jazz et de pop/rock ont été écoutés et à chaque passage nous avons retrouvé les mêmes qualités du système.
Cet ensemble est une vraie réussite, à découvrir sans limite !
Un mélomane troyen de passage à Reims, grand merci à lui. Un bien joli compte rendu qui, peut être, vous apportera, en ces temps de grisaille, un peu de chaleur :
"J'avais dit dans un autre post que j'allais écouter l'ampli Rega Brio-R couplé aux Mulidine bagatelle et Allegretto. C'est chose faite.
Commençons tout d'abord par détailler cette compilation que j'allais transporter, grâce à une petite galette toute blanche et un car Trans-Champagne-Ardenne (partant du parvis de la gare à 11:30 ou 07:02 le matin) de Troyes à Reims. Bien que je n'ai pas la volonté de digresser, sachez, vous tous qui pourriez rejoindre la cité Tricasse pour moult raisons, que notre bonne ville de Troyes ne vend rien (quasiment rien ou peu de choses pour ne fâcher personne) qui s'apparente à de la haute fidélité. Sans être de mauvaise foi, on peut affirmer que rien n'est prévu pour écouter une enceinte dans de bonnes conditions.
Compilation, disais-je donc, faite par mes soins et susceptible de m'apporter de la joie.
Giovanni Felice Sances - Stabat Mater - Carlos Mena. Ricercar Consort. Philippe Pierlot. MIRARE.
Dietrich Buxtehude - Praeludium in F Major, BuxWV 145 - Bine Bryndorf. (Complete works for organ, Vol. 6). DACAPO.
Jean-Sébastien Bach - Goldberg variations BWV 988 - Aria - Rosalyn Tureck. (Johann Sebastian Bach Goldberg variations, CD1).DEUTSCHE GRAMMOPHON.
Jean-Sébastien Bach - Widerstehe doch der Sünde BWV 54 - Aria - Masaaki Suzuki. (J.S. Bach - Cantatas, Vol. 3). BIS.
Franz Schubert - Hungarian Melody in B minor, D817 - Alfred Brendel. (Schubert - Piano works 1822-1828, CD2). DECCA.
Franz Joseph Haydn - Hob. XV:37 in F - Adagio - Beaux Arts Trio. (Complete piano trios, CD1). PHILIPS.
Giovanni Battista Pergolesi - Questo è il piano - Aria - Marianna Pizzolato. Anna Netrebko. Antonio Pappano. (Stabat Mater - a tribute to Pergolesi). DEUTSCHE GRAMMOPHON.
Franz Schubert - Quintett A-Dur D.667 "Forellenquintett" - Thema mit Variationen (Andantino) - Alban Berg Quartett. (Schubert - String quartets Nos. 13-15 etc, CD3). EMI.
L'écoute se passe dans un local de 22 m2 doté de confortables fauteuils. Seules les enceintes que j'écoute sont présentes. D'emblée, je me sens un peu chez moi.
Le matériel mis en oeuvre : Ampli Rega Brio-R / Platine CD Rega Apollo / Mulidine Bagatelle dans un premier temps puis Allegretto ensuite.
Au cours de cette après-midi Rémoise et pluvieuse, après qu'un cocher m'ait conduit, aidé de son GPS, jusqu'au lieu de l'auditorium et allégé ma bourse de 12 € 40, ma sensibilité du jour, à peine entamée par ce transport, me portait à prêter une oreille attentive et à ouvrir mon coeur, (mon âme ?) à Schubert et Pergolesi.
Mon hôte donne au Rega ma petite galette blanche que je vois disparaître d'un trait. Nous y voilà donc, enfin.
Carlos Mena pour commencer. L'écoute est convaincante mais je trouve les douze minutes un peu longues car mon humeur n'est ni à la tristesse ni à la mélancolie...
Buxtehude ensuite... Bien sur la Bagatelle, bien mieux sur l'Allegretto, plus de poids. Et ces petits tuyaux qui chantent à merveille ! C'était la deuxième piste que j'écoutais. A l'écoute de Buxtehude joué par Bine Bryndorf sur la Bagatelle, je devinais qu'il y aurait du changement avec la grande soeur. Et je crois que déjà, je savais que j'avais trouvé ce que j'étais venu chercher.
Et Bach, le toucher subtil de Rosalyn Tureck. Et puis ce génial Suzuki. Tiens, je me souviens avoir entendu cette même cantate "Widerstehe doch der Sünde BWV 54" sur des Cantabile Suprême drivées par un Arpège Référence 10. Ce souvenir ne me trouble pas pour autant, je suis dans la musique.
Par chance, j'étais seul lorsque j'entendis Brendel interpréter la Mélodie hongroise en si mineur. Grâce soit rendue à ces deux géants de la musique de nous transmettre quelque chose de leur âme propre. Mes yeux s'humidifient. Le petit rega brio associé aux Mulidine Allegretto y est sans doute pour quelque chose. En tout cas, je ne pense pas au matériel à ce moment là. Je respire profondément simplement comme lorsque l'on se sent heureux.
Avec Haydn, je retrouve cette délicatesse que j'aime temps. La tension Schubertienne se dissipe. Le temps suit son cours, paisiblement. Je me cale dans mon fauteuil et me laisse aller à l'écoute de la musique. L'atmosphère est sereine. J'imagine alors quelque chose de convivial... prendre le thé avec quelques amis et se délecter de ces moments doux que rien ne vient compromettre.
Pergolesi... maintenant. J'avoue être particulièrement sensible au raffinement de sa musique. Autant le dire, dés les premières notes de la contralto, je suis saisi. Mon hôte est à côté, j'imagine qu'il écoute le système plus que moi. Pour ma part, je n'ai pas cette tentation... enfin, dans une moindre mesure car je me dis tout de même que je vais sûrement entendre à un moment donné quelque chose qui viendrait ternir ce moment de grâce... Finalement, non. Je reste supendu au souffle de notre contralto qui m'emmène au bout de ses vocalises. Je ne sais plus si c'est à ce moment là que je me suis dit : "ces enceintes chantent très bien" ! Déjà, à l'écoute des Bagatelle, je me disais que c'était "bien parti". A l'écoute des Allegretto, je n'ai plus aucun doute. Je sus alors que je convoquerai bientôt Pergolesi, Anna Netrebko et Marianna Pizzolato dans mon salon et avec ce même matériel.
Quelque chose de plus léger pour terminer ! Comme une truite qui vire au fil de l'eau. Au bord de ce ruisseau limpide, irradié d'un rai de soleil, je contemple cette truite incouciante aller et venir, les reflets du soleil sur l'eau m'éblouissent à peine. Non, je n'ai pas fumé. Juste un peu de Kentucky Birds, de temps à autre, mais c'est légal... enfin, jusqu'à aujourd'hui. Pour être prosaïque et revenir aux choses matérielles, j'ai écouté, le coeur léger, la musique de Schubert et je n'ai pas remarqué de défaut dans cette association ampli/enceinte.
S'il fallait faire une synthèse, pour ce qui est du matériel. Oui, le petit Rega Brio-R fonctionne très bien avec les Mulidine Bagatelle. Pour un budget serré, il s'agit d'un achat tout à fait sensé et qui permet vraiment de se faire plaisir.
Le couple Rega Brio-R / Allegretto V4 en donne plus évidemment. C'est flagrant sur la musique d'orgue, elle a plus de poids.
A l'évidence, l'Allegretto ira sûrement (je dis sûrement car je n'ai pas écouté) plus loin avec des électroniques plus chères : euphya 280 ou Stormaudio, Lavardin, Sugden... Mais, et c'est intéressant, je ne me sens pas frustré de commencer d'écouter les Allegretto avec cet ampli à 600 €. Ce qui n'est pas évident à croire à priori. Une parenthèse pour dire qu'à un moment donné, l'ampli Roksan Kandy II (deux fois plus cher) est venu remplacer le petit Rega Brio-R et je n'ai pas été meurtri par ce changement (sentiment d'acheter, au rabais, un petit appareil à 600 €).
Cela dit pour un upgrade, je le réécouterais volontiers + ceux cités plus haut.
J'entends déjà ceux qui diront qu'au vu des musiques écoutées, il y a aussi JMR et PEL. Je dirai oui. La question est toujours la même : quel budget je consens à consacrer au matériel.
Je crois que les enceintes Mulidine Allegretto, pour 2400 €, répondent à ma demande. Et cela ne gêne pas de se faire rappeler qu'il s'agit de la gamme moyenne.
En tout cas, je crois qu'à l'issue d'une écoute en auditorium, l'on ne doit plus douter et qu'il doit y avoir quelque chose de l'ordre de l'évidence : ces enceintes sont faites pour moi. Je les ai trouvées. Et je vais les commander
Sur la démarche adoptée par mon hôte en auditorium maintenant. Je dois dire qu'elle me paraît tout à fait adaptée. En premier lieu, j'ai apprécié de rencontrer quelqu'un qui me paraît autant mélomane que technicien connaissant ses produits. Écoute à mes côtés de la musique, pas de discours intempestif, moments partagés autour d'un petit café et simplicité.
Que dire de plus ? Vive la musique !"
Système de test :
Amplificateur : Rega Brio-R
Sources : Rega Apollo
Enceintes : Mulidine Allegretto v4
Câble de modulation : Tellurium Q Blue RCA
Câble HP : Tellurium Q Black
Si vous avez lu notre test de l'amplificateur Rega Brio-R, vous savez que nous sommes tombés sous le charme de cet OVNI musical. Certes posséder une telle petite bombe d'énergie c'est bien mais... quelles enceintes doit'il alimenter ?
Là notre travail commença et de nombreuses heures d'écoute se déroulèrent...
Naturellement, notre premier réflex fut de lui donner à croquer les Rega RS-3. Le résultat fut très bon, belle dynamique, image stable, timbres propres. Ce Rega + Rega fut tout sauf une écoute de type anglais (voir ProAc), la musique vint à nous et chanta en toute liberté.
Après les enceintes anglaises, vînt le tour d'enceintes américaines, les Boston A 250. Le résultat fut bon, la dynamique était certes moins percussive que précédemment mais les timbres possédaient alors un soyeux peut être absent avec les Rega Rs-3. En finalité l'écoute, certes belle, était moins passionnante tout en restant d'une grande fidélité.
En France, nous possédons de nombreux facteurs d'enceintes acoustqiues. Certains bons, ils sont très rares à mon goût, d'autres, la majorité franchement mauvais. Il y a déjà une année, nous recevions au magasin les nouvelles Mulidine Bagatelle que nous avions fortement appréciées (voir le test ici). En un tour de main (ou surtout de dos) nous les connectâmes au Brio-R alors en fusion... Et stupéfaction... ces deux là étaient faits pour se rencontrer. Une grande histoire d'amour débutait... Alors, Beethoven déploya l'énergie, la foudre, l'art de sa musique symphonique (symph. n° 5 dirigée par P. Jarvi). Les Bagatelles nous délivrèrent tout ce génie beethovenien avec dynamisme, vivacité, précision, engouement et beauté. Impressionnant pour un système Haute Fidélité appartenant à cette gamme tarifaire ! Après Beethoven défilèrent de nombreuses (trop nombreuses ?) galettes argentées. L'écoute fut toujours aussi convaincante.
A l'écoute de cet ensemble, nous fûmes vraiment stupéfaits par le côté vivant, "live" de la musique reproduite. La dynamique était ici exceptionnelle. Les timbres n'éataient peut être pas les plus chaleureux que nous ayons entendus mais ils étaient vrais (clarinette, hautbois, cuivres et violons).
Ecouter de la musique au travers ces éléments fut un réel plaisir.
Système de test :
Amplificateur : Rega Brio-R
Sources : DAC Rega ou Olive 3 HD
Enceintes : Mulidine Bagatelle
Câble de modulation : TelluriumQ Blue
Câble HP : TelluriumQ Blue
Les Notes :
Fabrication : 13/20
Timbres : 13/20
Dynamique : 14/20
Image : 12/20
Transparence : 14/20
Qualité/Prix : 15/20
Connaissez-vous cette étrange sensation qui vous étreint lorsque vous vous apprêtez à écouter un produit censé succéder à une véritable légende ? C'est précisément ce sentiment qui m'habitait en déballant les Da Capo, dernières nées des ateliers Mulidine. La tâche qui leur incombe est pour le moins intimidante : prendre la relève des Cadence, ces enceintes qui ont marqué de leur empreinte sonore tant d'auditoriums et de salons d'audiophiles avertis.
Pourtant, dès le premier regard, on devine que Mulidine n'a pas choisi la facilité d'une simple mise à jour. Plus compactes, plus modernes dans leur dessin, les Da Capo affirment d'emblée leur personnalité propre. Certes, elles conservent certains fondamentaux qui ont fait le succès de leur illustre aînée - le tweeter à ruban, le filtre mécano-acoustique - mais leur conception reflète une approche résolument contemporaine, depuis leurs membranes en composite high-tech jusqu'à leur ébénisterie aux lignes épurées.
Au fil de ces dernières semaines passées en leur compagnie, j'ai tenté de comprendre si cette évolution technologique et esthétique s'accompagnait d'une véritable révolution musicale. Ces nouvelles venues sont-elles à la hauteur de l'héritage dont elles sont porteuses ? C'est ce que nous allons découvrir ensemble.
Système en écoute :
Amplificateur : Mélody dark EL34
Serveur Audio : système complet mini Zen InnuOS + Alimentation + Phoenix USB
Convertisseur : Marantz CD50
Enceintes : Mulidine Da Capo
Cables : AlbedoSilber Blue
Ce dimanche après-midi, poussé par une étrange envie de m’autoflageller, je décide de m’installer devant un système HiFi que je devrais normalement fuir comme la peste. Un amplificateur à lampes Melody Dark, des enceintes Mulidine Daccapo, une source Marantz CD50 et des câbles AlbedoSilver Blue, autant dire un cauchemar technophile sur le papier. L’ensemble respire cette prétention audiophile qui, habituellement, me hérisse le poil. Alors pourquoi ? Peut-être par ennui, ou par pur goût de l’absurde.
Après tout, à quoi bon prendre la vie au sérieux quand on peut la prendre avec un soupçon d’ironie ?
Et pourtant... Alors que défilent Marillion, Pink Floyd, Genesis, Prince et Roger Waters, dans ce dimanche automnal aussi gris que l'humeur du ciel, je m’étonne à m’abandonner à l’expérience.
Un café, puis deux, puis trois. J’écoute, et contre toute attente, je prends un pied monumental. Ça en devient presque embarrassant. Si je m’arrête pour réfléchir, tout cloche : le rendu sonore est outrancier, presque vulgaire dans sa puissance, les basses font trembler les murs, et ce système me balance un son qui devrait normalement me faire grimacer.
Mais si je lâche prise, c’est une vague qui me submerge. L’énergie brute et indomptée de cet ensemble me contamine. Le volume est absolument scandaleux, comme une fête qui a mal tourné, mais qu’importe ?
Je suis seul chez Opus 51, et je savoure ce moment, comme on savoure un cocktail bien trop fort. C’est un shoot inattendu, une drogue sonore qui, d’un coup, m’envoie dans les étoiles. Waouh ! Et le plus sidérant dans tout ça ? En ce jour sacré, je n’ai même pas touché au whisky. Saint miracle !
Puis vient le retour à la réalité, comme après toute bonne cuite existentielle.
Il est passé 16 heures, cela fait deux heures que je m'abrutis volontairement dans ce déluge sonore. Lentement, je commence à sentir mon cerveau se rebeller, comme un corps qui en a trop vu. Je coupe tout, sort de la pièce, et dans un éclair de lucidité cynique, je me dis que c’était bien trop beau pour durer. Mon esprit m’a sans doute joué un sale tour. Et à la réflexion, qui pourrait raisonnablement vivre avec un tel système à long terme ? Certainement pas moi.
Mais, tout comme une virée au pub un vendredi soir, c’était amusant, absurde, et totalement déraisonnable. Un plaisir coupable, comme une mauvaise habitude qu'on aime à retrouver... mais jamais trop souvent.
Le NAD M33 est un amplificateur stéréo/DAC/Serveur Audio qui dispose d'un grand écran couleur tactile, il peut lire les musiques partagées sur le réseau local et accéder aux principaux services de musique (Qobuz, Amazon Music, Tidal...). Son DAC audio ESS Sabre est compatible avec les fichiers audio haute résolution 24-96 et 24-192. Son amplification HybridDigital Purifi Eigentakt délivre 2 x 200 watts de puissance sous 8 ohms.
Son interface BluOS permet de l'intégrer à un système audio multiroom BlueSound afin de diffuser la musique sans fil dans toute la maison.
L'amplificateur intégré stéréo, DAC, lecteur réseau Naim Uniti Nova se présente dans un beau châssis en aluminium du plus bel effet. Il développe 2 x 80 Watts en classe AB, il dispose de fonctions streaming et peux donc se connecter à tous les services en ligne existant soit, par son application dédiée, soit comme lecteur Roon.
Le Naim Uniti Nova est le fleuron de la gamme Naim Uniti, qui comprend le serveur audio Naim Uniti Core (avec lecteur CD, disque dur et fonction copie), ainsi que les amplis réseau Naim Uniti Atom et Naim Uniti Star.
Ce Naim Uniti Nova peut-il se targuer d'être un vrai amplificateur Hi-Fi haut de gamme ? Le constructeur anglais a t'il préservé sa signature qui plait tant à certains audiophiles et, qui peut en rebuter d'autres ? Pour environ 5.000 euros le Naim Uniti Nova répond-t'il aux attentes que nous attendons d'un produit "tout-en-un" ?
Suite à son achat des Neat Acoustics Momentum 3i après des écoutes faites en magasins, brut "de pomme" les commentaires délivrés par mail d'un client breton mélomane :
"Comment promis, un message après l'achat des NEAT...
(Lu sur le forum HCFR). Pour une fois je vais laisser un client s'exprimer. Grand merci à lui :
"Un petit compte-rendu d'écoute des Neat Ultimatum LX6, bien sûr chez Opus 51. Je tiens à souligner la qualité de l'accueil de Frédéric (Baussart) ainsi que des conditions d'écoute (dont pourraient s'inspirer plusieurs magasins).
Système: lecteur Cd Arpège d' Art et Technologie , ampli Karan KI180, câble modulation Melody de Patrick (Planeurventus sur le forum), câbles HP Abbey road en bi-cablage.
Cette écoute est la Xème d'une liste déjà fournie (Kef 205, BW 802, 803, JM Lab 1038, Atohm GT3, ...) afin de remplacer mes Proac D38.
Après quelques instants de chauffe, les choses sérieuses commencent. Les CD écoutés: Tableaux d'une exposition, Inessa Galante, Wynston Marsalis, Rodrigo et Gabriela.
Ce que je retiens d'abord, c'est une scène sonore bien large, avec un grande aération: la musique respire, chaque instrument est bien localisé et aucun n'est caché par les autres. Les voix paraissent naturelles et ont une réelle tessiture. On perçoit les inflexions et les modulations dans les voix des chanteuses, sans jamais être agressif.
Sur l'écoute du Marsalis, les instruments sont parfaitement étagés, avec un positionnement "en 3D": la trompette n'est pas au même niveau que la voix, qui n'est pas alignée avec la contrebasse, etc.. Les claquements de main sont ... claquants.
Le rythme de la guitare de Rodrigo est bien rendu (la guitare étant un peu boostée dans cette prise de son).
J'avais quelques craintes avec les tableaux de Moussorgsky: dame, l'enceinte fait moins de 1 mètre et avec les percussions de l'orchestration... Eh bien non: le grave n'est pas du tout aux abonnés absents et est convaincant par sa réactivité et sa capacité à restituer les détails (beau rendu des vibrations de peaux de grosse caisse).
Toutefois, ceux qui aiment les graves très profonds devront passer leur chemin. Moi ça me convient bien, car ma pièce d'écoute génère 1 bosse en bas qu'il vaut mieux ne pas titiller.
Globalement, c'est une écoute toute en limpidité et en homogénéité, d'une belle précision et très équilibrée. Les timbres ne sont pas en reste, offrant une belle palette sonore sans coloration. La scène sonore est spacieuse, avec un bon étagement des plans sonores. Enfin, la dynamique est parfaitement maitrisée, peut-être un peu trop si je cherche la petite bête.
Sans aucun doute figurera-t-elle dans le dernier carré au moment du choix." (gede 77)
"J’ai le plaisir de vous annoncer la commercialisation de l’amplificateur Neodio TMA sur lequel je travaille depuis 3 ans. Ce produit est le premier d’une nouvelle gamme éco-conçue, en conformité avec mes engagements du Blue Program.
Ce projet est pour moi l’aboutissement d’une réflexion profonde sur le positionnement de la marque et sur la conception d’un objet conforme à mon ambition en terme de qualité et d’écologie.
Le TMA propose aux mélomanes :
- une performance sonore de premier plan, associée à une puissance confortable de 2x80W à même de driver la vaste majorité des enceintes
- une durabilité soutenue par sa conception et la qualité de sa fabrication (française). La garantie est de 10 ans au premier acheteur.
- un positionnement milieu de gamme avec un prix public inférieur à 5.000 euros ttc.
- un design minimaliste qui rappelle les électroniques Haut de Gamme Origine"
(S. Even, fondateur de la société Neodio)
Ainsi fut annoncé le tout nouvel amplificateur stéréophonique "made in France" de la société bordelaise Neodio bien connue maintenant depuis des décennies en France.
Ce mois d'août, au climat chaotique, est propice aux différents tests des matériels que nous avons eu entre les mains ces dernières semaines. O2A est une entreprise basée au Liechntenstein, dirigée par une ingénieure en Télécom, qui développe des câbles audio et video depuis maintenant plus de trois ans.
Entre les mains nous avons eu la gamme Expérience, la gamme Délivrance et maintenant la gamme Quintessence. Parmi les référence de cette dernière nous choisissons de vous faire découvrir le câble de modulation haut de gamme ; le Quintessence Sublime en version RCA (à savoir il existe également en version XLR).
Ce câble est composé de conducteurs cuivre pur spécialement traités argent à très large bande passante, supérieure à 6 GHz. Il possède un triple blindage par double tresse aluminium et une double isolation PTFE. Son tarif public est de 1.449 € ttc pour 1 métrès en connecteurs argent.
A l'écoute nous sommes réellement en prèsence d'un câble de modulation très Haut de Gamme et, de par son prix et, de par ses résultats musicaux. La bande passante reproduite est importante. L'infra grave est présent même si il manque un peu de précision, nerveux et rapide, les aigus modulent avec bonheur (voir les écoutes de fichiers audio Studio Master) et le medium n'est ni en retrait, ni flatteur, il est !
Au niveau dynamique, le message sonore ne semble pas tassé, la musique respire avec aissance et nature mais, un léger manque d'énergie ou plutôt une légére retenue se fait ressentir. Les faibles signaux restent audibles sans forcer l'oreille.
L'espace sonore reproduit est tri dimensionnel. Sur certains enregistrements que nous croyions parfaitement connaître nous fûmes encore surpris par la stabilité de l'espace holographique reproduit.
En conclusion, si vous en avez les moyens, nous vous conseillons ce câble de modulation. Car malheureusement, comme la plupart des câbles O2A, sont tarif est un peu élevé par rapport à ses qualités musicales réelles.
Système de test :
Amplificateur : Art & Technologie SE50-I Référence
Sources : Art & Technologie L'Arpège
Enceintes : Aurelia Graphica
Câble HP : TelluriumQ Ultra Black
Les Notes :
Fabrication : 12/20
Timbres : 16/20
Dynamique : 15/20
Image : 16/20
Transparence : 16/20
Qualité/Prix : 12/20 (mauvais positionnement tarifaire)
Spécifications techniques :
Conception interne : Double mono
Composants : Transistors de puissance Sanken / Condensateurs Nichicon Gold Tune (4x10 000uF/63v) / Diodes 8 x MUR8100 / Transfo torique 420VA
Séparation pré-ampli / ampli : Oui (entrée By-pass)
Puissance : 2x66 Watts RMS sous 8 Ohms / 2x125 Watts sous 4 Ohms
Taux de distorsion : < 0,003 %
Rapport Signal/Bruit : >91 dB
Bande passante : 10 Hz - 30 kHz
Entrées Audio : RCA (x6, dont Bypass)
Sorties Audio : RCA / Casque
Sortie Haut-Parleurs : 1 paire d'enceintes
Télécommande : Télécommande fournie
Dimensions (L x H x P) : 430 x 109 x 401 mm
Poids : 10,5 kg
Musiques écoutées :
Le Système d'écoute :
Les Notes :