Sous le souffle chaud de l’été, la mer s’étire paresseuse jusqu’à l’horizon.
Entre deux notes de musique, les vagues semblent danser avec les nuages.
Un casque sur les oreilles, le monde se fait plus vaste encore, peuplé de mélodies que seul le vent de l’océan semble comprendre.
Ici, le temps s’étire, se suspend, comme si les journées n’étaient faites que de lumière, de sel sur la peau, et de refrains à réécouter mille fois.
Ce sont les vacances, celles où l’on s’oublie pour mieux se retrouver.